Noir diamant

mercredi 30 janvier 2008

Non mais, pourquoi ça m'arrive à moi? Ca me rend malade ces trucs là, je gère pas, et ça me poursuit avec plein de questions auxquelles je ne pourrai jamais répondre et encore moins faire oeuvre utile. Tout avait pourtant bien commencé (et les deux fois de la même façon): s'installer devant la télé pour regarder un bon film.
Yess super, enfin un moment tranquille, attaquer le dvd qui traînait là depuis un certain temps, et dont je n'avais jamais entendu parler avant: "Blood Diamonds" avec Leonardo di Caprio dans un rôle surprenant et une Jennifer Connelly un peu énervante mais soit parceque les personnages principaux de ce film c'est pas lui ni elle au bout du compte, mais l'Afrique, là où l'histoire se déroule.

Quelle histoire! Leonardo est trafiquant de pierres précieuses au Sierra Leone de triste renommée, gangréné par des troupes de rebelles sans foi ni loi, qui pillent massacrent, détournent leurs propres richesses qui rendent le pays exsangue et kidnappent des jeunes enfants pour en faire des combattants sans scrupules.
Ca va jusque là? ben moi non, de voir tout ça, cette violence, cette guerre, ces familles détruites ces enfants massacrés, non ça ne va pas. Comment dormir tranquille après ça? Je sais bien qu'on ne pourra pas sauver le monde, mais quand même, la dignité humaine bafouée comme ça, c'est une insomnie.

Je sais pas comment ce film se termine parceque je n'ai pas vu la fin, et par un curieux concours de circonstances je n'ai pas encore eu l'occasion d'y revenir...
En attendant, j'ai vu un autre film dont j'étais loin de me douter qu'il me ramènerait là bas aussi pour des circonstances différentes mais terribles également: "La Constance du Jardinier" je crois que ça s'appelle, avec (le beau) Ralph Fiennes. Ca se passe, dans les milieux de l'aide humanitaire, l'histoire traite d'intérêts financiers colossaux d'une firme pharmaceutique qui a choisi le fin fond de l'Afrique pour mener des expériences sur des enfants. Le résultat est aléatoire: malformations, handicaps et j'en passe...

Pour résumer Ralphie finit par mourir assassiné d'avoir mis son nez là dedans.
Des superbes images de ce continent magnifique mais tellement fragile quand on voit ça.
Pourquoi ça se passe toujours pour les mêmes ce genre de choses? C'est à hurler quand même. On voudrait pouvoir faire quelque chose et puis on se demande si l'idéalisme est en mesure de trouver un jour une application pratique? ou bien si c'est juste le lot de quelques Occidentaux qui voient trop grand et en couleur?

C'est quand même fou, j'ai le ventre noué de savoir que je n'ai pas encore vu la fin de l'histoire des diamants, parceque j'ai peur que ça se termine mal, même si les intentions du réalisateur sont bonnes. Ici on n'est plus dans le film, la réalité est beaucoup trop forte et trop lourde pour qu'elle en reste confinée au petit écran.Quel curieux sentiment que celui d'une Afrique ou c'est trop beau et trop laid à la fois.

Tiens j'y pense, le "continent noir" est ce une simple expression liée à la couleur de ses habitants? ou voudrait elle signifier sans le vouloir le poids d'une histoire assombrie par les larmes et la souffrance, sans trop d'espoir de rédemption?

Destins partagés

mardi 29 janvier 2008

Ahlala je crois que la dernière fois que j'ai eu 40° de fièvre je devais avoir entre 0 et 6 mois. Beauuucoup plus tard, là, maintenant, ni vu ni connu, m'est tombée dessus ce qui ressemblerait bien à une grippe: mal partout à ne plus savoir bouger, un mal de tête épouvantable et une température de cheval qui ne daigne pas redescendre, c'est tout. C'est la grippe ça? Je n'en sais rien parceque je ne me souviens pas non plus d'avoir eu la grippe depuis des lustres.
Ce n'est pas vraiment sérieux: pour identifier l'ennemi, j'aurais du courir chez le médecin mais non, au lieu de ça, j'a pris les quelques jours de récupération qui me restaient pour m'enfoncer dans mon lit avec beaucoup d'eau, des antalgiques, un thermomètre, point barre. Après quelques jours de douleurs partout j'ai enfin mis deux pieds l'un derrière l'autre sans tituber. Mais là c'est la toux qui me rattrape, je dois avoir une trachéïte ou quelque chose du genre, parceque j'ai un mal de gorge affreux, je suis sans voix, ah et je n'ai pas encore parlé de ma mine, je fais peur à tout le monde et je tousse comme une fumeuse invétérée au stade terminal.

Non mais, on attrape de tout de nos jours, enfin, ce n'est pas vraiment une surprise puisque c'est l'hiver. Mais je crois que le véritable ennemi du moment, c'est l'airco du boulot: un vrai foyer d'infection de tous ces trucs qui rendent malade, qui passent pas, et qui se transmettent. Finalement, il n'y a plus de saison pour tout ça: on peut être malade toute l'année parceque les bestioles se reproduisent de plus belle et sont conservés bien au chaud et vivants là dedans.

Je trouve que les entreprises devraient donner des jours gratuits pour ça on ne devrait même pas justifier ces maladies attrapées là-bas parceque tout le monde respire l'air infâme de ces tuyaux plombés et après tout si leurs circuits sont infestés n'ont qu'à s'arranger pour les rendre respirables. En plus, ils sont tout le temps mal réglés c'est bien connu: l'hiver on crève de chaud et l'été on grelotte.

Je sais pas mais de croiser tous ces gens dans les ascenseurs: les grands, les petits, les gros, les maigres, le beaux, les moches les qui sentent bon et les qui puent, et me dire que nous avons quelque chose en commun quand même.
Tout ça parceque des tuyaux sournois sont à l'oeuvre et vont faire que nous partagerons les mêmes virus.
Beuark, vraiment, rien que l'idée ça me rend encore plus malade.
Je retourne dans mon lit.

La bonne affaire

dimanche 13 janvier 2008

Quoi de plus original en cette période de soldes que de faire les soldes? Hein? je vous le demande...(je vous vois d'ici lever les yeux aux ciel) tout simplement: ne PAS faire les soldes.
Alors, je vous assure que je le fais pas exprès, mais les soldes ça ne m'a jamais réussi.
J'attends avec une certaine impatience, la période fatidique, vu qu'on peut vraiment trouver des choses intéressantes, et pourtant, une fois qu'elle est là, je sais pas, je commence à douter, tourner en rond, à me poser plein de questions et finalement je m'ankylose à y penser et ne jamais passer à l'action. Et même, dans l'hypothèse où je n'y pense pas, je ne sais pas pourquoi je ne trouve jamais le moment pour y aller franco, pour ça. Pas moyen. Ca doit venir du syndrôme subconscient: "j'irai demain" sauf qu'à force de se dire ça pendant 31 jours, il n'y a plus de lendemain intéressant le 32e jour.

Faut dire que la simple idée de la foule avide et trépignante qui se bouscule dans les rayons, ou prête à vous étrangler pour s'arracher le dernier spécimen qui vous intéressait justement; la chaleur, le manque d'air et les files interminables, ben non ça me démotive tout de suite.
Penser à ça, génère automatiquement des choses à faire plus intéressantes, mieux et ailleurs que dans les boutiques ou les galeries qui ressemblent à des fourmilières.

Ca m'est déjà arrivé que je prenne un jour de congé exprès, mais bon même là ça ne marche pas, je vois toujours autant de monde (d'où ils sortent d'ailleurs tous ces gens, ils sont tous en congé???) et je suis tellement contente d'être un peu tranquille que j'en profite pour me la couler douce et faire autre chose de relaxant.

Résultat: m'achète rarement des trucs en soldes, ou presque par hasard.
Et après, des regrets? Suis même pas sûre, tiens, ben d'ailleurs non, puisque je suis pas postée devant les vitrines en temps normal pour savoir ce que j'ai raté.

Alors je vous envie les filles, vous qui avez l'énergie, le courage et la témérité de vous lancer dans cette jungle déferlante, pour dénicher LA bonne affaire.
Moi il faudrait vraiment que je m'y mette, mais quand je relis tout ça je me dis que j'ai encore du chemin à faire.

Connexion addicted

samedi 12 janvier 2008

Je ne vais pas être pas très originale en disant que cette façon de rester scotchée à son écran en pianotant frénétiquement sur le clavier tient presque (soyons indulgente) de la pathologie.
Chercher, améliorer, coller, enlever, remettre, zut c'est raté, je recommence. Avec de temps à autre un "Il est temps que j'arrête, mais encore un peu ça ira" à vocation rédemptrice, mais aussitôt oublié tient presque d'un Mystère qui fait qu'on ne voit plus passer le temps, qu'on peste, parceque ça ne marche pas, puis, ouf, les affaires reprennent, mais tout compte fait on change et on repart de plus belle.
Comment? ah bon? et ça? oui-non, non-oui, peut être quand même.

On est là pour le plaisir, mais faut reconnaître qu'une fois les pieds dans l'engrenage, c'est les prises de tête qui commencent et le plaisir relève de la "dépendance-addiction" plutôt que de la simple distraction qui change les idées de façon détachée et légère.

Envolée la tranquillité d'esprit, bonjour les préoccupations en plus au quotidien déjà souvent chargé.
Parceque, l'acharnement sur le clavier fait qu'on ne voit pas le temps passer, et si quand on en sort c'est avec le sentiment d'étranglement qu'on n'a le temps de rien.

C'est pas un peu fou tout ça? C'est le monde à l'envers.
Caramba, je crois que nous sommes perdus!

L'une est l'autre

vendredi 11 janvier 2008

Prises isolément je ne suis pas trop fan (d'aucune des deux).
Mais soyons honnêtes, il faut leur laisser à l'une et à l'autre des voix superbes. Le tout c'est de tomber sur la bonne chanson et d'aimer (ben oui, tout simplement)
Ici le duo est à mon sens hyper très bien réussi (euh juste éviter d'écouter quand on a le blues, sinon, sans modération!)


Tu es mon autre - Lara Fabian et Maurane

Entre les deux

Ah lui c'est trop, il a une voix incroyable!
D'ailleurs je dois bien avouer qu'avant d'entendre qu'il s'appelait "Christophe", je pestais contre les animateurs radio qui après la chanson, ne disaient jamais le nom de la "chanteuse".
Je parie que je ne suis pas la seule à être tombée dans le panneau, avouez.
Et si vous me croyez pas, fermez les yeux et faites l'expérience en écoutant cette version acoustique du superbe "Jaques a dit" (écrit par Zazie, extrait de l'album "Inventaire"), et puisqu'on est dans le trip trop beau trop bien, je vous ajoute aussi la version "normale" pour comparer et se régaler.

Jacques a dit - Christophe Willem - Version acoustique




Jacques a dit -Christophe Willem- Le clip

Truc de mec

Ben oui, j'ai décidé de me faire plaisir, avec quelques chansons (et puis c'est pratique: je n'ai plus besoin de chercher yaka cliquer pour entendre des super mélodies, nan?)
En voici une de chanson, formidable et je vous dis pas les paroles! Un vrai régal! Mais bon ne tombons pas dans la facilité (je parle au cas où quelqu'une en profiterait pour murmurer "tous les mêmes". Ici c'est de l'homme en général dont on parle (et forcément les femmes -zutéflûte nous sommes faites-)
mais bon quand même, le genre masculin est soudain moins reluisant tout d'un coup, voici le très beau morceau de Zazie "je suis un homme" (extrait du non moins bel album "Totem")


Je suis un homme - Zazie

Truc de filles

jeudi 10 janvier 2008

Bon vu que c'est méga ramoïde pour configurer ce que je voudrais, je ne me prends pas trop là tête là, maintenant, à l'instant. J'ai décidé de ne plus réfléchir, et juste, de me faire plaisir.
J'avais pas encore vu le clip, mais j'ai complètement craqué pour la chanson, dont les paroles c'est un truc de dispute, de manger n'importe quoi, faire l'enfant, bref de fille qui boude et tout ça, je ne sais pas pourquoi, (non non aucune idée) je pense soudain, à plein de filles, bizarre non?
C'est un truc de filles ça? d'être jamais contentes, de tirer la tête, de faire son enfant gâtée-rancune-tenace? nooooon quelle idée!

Bon assez parlé, je mets ici, en prime de la chanson, le petit clip qui, est vraiment bien! Mettez le volume à fond, et n'hésitez pas à danser, défoulement garanti! j'adoooooore!

Foundations - Kate Nash

Wii a dit le contraire?

dimanche 6 janvier 2008

Je pense avoir été de celles qui regardaient ces convaincus comme des étranges spécimens immunisés contre le sport le VRAI, en ricanant doucement, qu'ils devaient se donner bonne conscience "physique" devant leur écran, et en pensant tout bas que rester devant une console comme ça c'était d'une certaine façon manquer d'intelligence d'esprit critique face à la société de consommation qui nous emportera tous un jour ou l'autre.
C'est sans compter sans le Père Noël tout ça, parcequ'il y a peu au pied du sapin... une console Wii apparut dans mon salon avec l'incontournable Wii Sport.
Wii what???
Soyons honnêtes, depuis lors, je suis au bord de la tendinite aigüe du bras-épaule droits, de la crise de nerfs face à la concurrence impitoyable de mes adversaires, confrontée implacablement au stress des champions (si je marque ce point-là je gagne, je gagne, je gaaaagne), et de l'épouvantable sentiment de défaite les jours où rien ne va (vous ne vous rendez pas compte, mais perdre des points parcequ'on s'éloigne de son record personnel revient à perdre la place de n°1 mondiale à l'ATP, faut gérer tout ça)
Qui a dit que c'était pas du sport ça? han? les mauvais perdants et les manches du coup droit. Ha ha. Mieux même, accrochez vous parceque je me suis découvert des talents cachés de boxeuse imparable, et golfeuse hors pair! Moi qui n'ai jamais mis la main sur un vrai club de golf (ça existe quelque part ça?) et qu'à part "One million dollar baby" n'ai absolument aucune sympathie pour la boxe que je n'hésite pas à qualifier de sport d'abrutis manquant d'intérêt, si vous voyiez mon jeu de jaaambes et mon coup droit!

Mais bon, la vraie question reste: à part souffler comme un marathonien dans ses mauvais jours, devenir mauve écarlate de tant sauter et bondir pour ne rien rater,(le lustre du salon survit comme par miracle) estceque tout ça sert à quelque chose? estceque tous ces efforts soufflants et transpirants servent vraiment à perdre, ne fut-ce que quelques centimètres (kilos on peut rêver?) hein? je vous le demande parceque je ne vois rien de tout ça.

Mais bon admettons que c'est convivial (quand on veut bien lâcher la télécommande), ça défoule, et qu'il reste l'incroyable sentiment d'avoir frôlé l'exploit et le couronnement suprême de pouvoir à nouveau être qualifée de "sportif".
Je ne sais pas, mais, je dois dire que certains jours, ça libère.

Tout ça pour ça?

samedi 5 janvier 2008

Vous avez vu le "Diable s'habille en Prada?". Je viens de le découvrir (oui je sais ce n'est pas récent)! Trèèèèès intéressante réfléxion sur le travail. J'ai beaucoup aimé, beaucoup ri. La caricature (mais en estce vraiment une?) est bien ficellée, et je n'en doute pas, dans certains milieux professionels ça doit être ça.
Mais puisqu'on parle de Diable, allons-y gaiment de quelques réfléxions sulfureuses: pourquoi ne pas considérer que cette fille (Andréa l'héroïne) a raté quelque chose en abandonnant tout ça? J'ai quand même trouvé que la fin faisait un peu "happy end" limite eau de rose et ça m'a laissé un goût de trop peu.
J'ai un doute fondamental sur le fait que certains directeurs soient des "Miranda" purs et durs, mais tout est possible.
Par contre l'entourage de la belle Andrea n'est pas très compréhensif pour quelqu'un qui commence sa carrière. D'autant plus, qu'on n'arrête pas de le dire: cette situation d'esclavagisme n'était destinée qu'à durer 1 an, après quoi elle aurait pu voler de ses propres ailes.
Questions existentielles: doit on considérer que vouloir un travail intéressant, être au top, et gagner de l'argent revient à "trahir" ses amis? Cela veut il dire que pour être quelqu'un de bien il ne faut surtout pas faire de vagues et rester sur des rails de bienséance dans un travail où on part et rentre tous les jours à la même heure? Et se dire qu'on a des fins de mois difficiles mais c'est-rien-c'est-la-vie?
Non, moi je dis non.
Je pense qu'à moins d'être riche et célèbre, et n'avoir pas besoin de travailler, le travail est devenu une obligation pour le commun des mortels que nous sommes.
Et qu'il ne faut pas confondre les débuts, souvent difficiles, et la "vitesse de croisière" qui survient après quelques années où, on peut, enfin, se permettre certaines "libertés".
Je retiens une phrase de la "délicieuse" Miranda "tout le monde rêve d'une vie comme celle-ci" oui sans doute, mais! (et c'est là que toute affinité s'arrête) j'ajouterai: le bonheur en plus.

Je crois que c'est ça qui m'a déçue, je m'attendais à ce qu'Andrea ait suffisamment de talent pour tirer son épingle du jeu, et parvienne en véritable héroïne du monde moderne à combiner les deux: son travail et le bonheur sur le plan personnel. Surtout qu'après tant d'efforts on ne pouvait qu'applaudir son esprit d'entreprise, son intelligence. Et on rêvait secrètement qu'elle se réconcilie avec son amoureux et ses amis (?) devenus moins intransigeants et plus solidaires dans cette période difficile de sa vie.
Au lieu de ça, non, c'est du "tout ou rien" comme choix (un peu court quand même) et c'est peut être ça qui à mon sens fait que cette histoire manque d'aboutissement. Mais, sans doute c'est comme ça pour que ça puisse coller platement à la réalité?
Que combiner les deux ce n'est tout simplement pas possible?
Snif...

Cadeau d'enfant

vendredi 4 janvier 2008

A peine quelques heures lancée dans l'aventure un tas de sujets, de questions se bousculent comme prioritaires les uns par rapport aux autres. Au fond, on n'arrête pas de penser, la tête est un tourbillon incessant qui n'arrête jamais.
Qu'écrire d'abord? plus tard? et pourquoi pas?

Restons les pieds sur terre et revenons à la douce/amère réalité .
Et puisque le temps des cadeaux n'est pas loin, en voici un.
Il n'est pas trop tard pour vous souhaiter une très belle et très douce année 2008 et comme le dit le slogan de ce petit clip: "donnez ce que vous pouvez, on ne vous demande rien de plus".

Faut un début à tout

jeudi 3 janvier 2008

Bonjour!
(euh, faut bien commencer quelque part...)

Voilà je me lance, je me lance je me lance, yihaaa trop bien, trop bien, trop bien. Hein? Quoi? revenons à ce qui nous occupe là, à l'instant, à cet instant précis ou je pose mes doigts sur ce clavier. Un peu de sérieux:
j'ai longtemps trouvé que l'idée de tenir un blog était de nature tendance euh, égocentrico-nombriliste, moi aux grandes idées d'universalité, collectives et le-monde-est-vaste, et voilà que je veux aussi tenter l'expérience.
Ben oui, faut un peu (beaucoup ) vivre avec son temps, et pourquoi pas essayer? Après tout, dans ce monde de nature "yaka" (ouh le vilain mot) si ça ne va pas on arrête tout et on essaye autre chose. Nan?
Non non, n'allez pas croire que c'est de la légéreté frivole-point-barre, mais avouez qu'il y a une part de vérité dans tout ça.
Bref me voilà dans le monde des blogs, sans savoir absolument de quoi il en retourne ni comment ça fonctionne.
Sans compter que je n'ai pas vraiment le temps de m'occuper de tout ça activement, résultat: retour à la case départ: qu'est ce que je fais là?